Les aliments de la gamme DP NUTRITION reposent sur un choix spécifique de matières premières soumises au respect d’un cahier des charges strict imposé par la marque. DP NUTRITION sélectionne les matières premières utilisées selon plusieurs critères : qualité, valeurs nutritionnelles, digestibilité, origine, stabilité, etc.
L’avoine est une céréale relativement bien équilibrée (9% de protéines, 5.5% de matière grasse, 11% de cellulose brute) possédant également peu d’amidon (37%) par rapport aux autres céréales telles que le blé par exemple (60%). Compte tenu de cette teneur très élevée mais aussi de sa nature (amidon de blé très fermentescible pouvant engendrer des troubles digestifs), nous interdisons l’utilisation de blé dans l’ensemble des produits de la gamme DP NUTRITION.
L’orge est une céréale couramment utilisée pour l’alimentation des chevaux. L’orge étant un grain nu, sa teneur en cellulose brute (5%) est beaucoup plus faible que celle de l’avoine. Son apport énergétique demeure intéressant (1 UFC au kilo pour 0.9 UFC au kilo pour l’avoine) et essentiellement dû à son niveau d’amidon (52%). Néanmoins, compte tenu des facultés digestives limitées du cheval à assimiler l’amidon (cf. « appareil digestif du cheval »), nous utilisons l’orge et l’avoine dans des propositions bien définies afin de tirer profit de leurs avantages sans en perturber le métabolisme du cheval.
Le maïs est une céréale très énergétique (1.15 UFC au kilo) dont nous privilégions l’utilisation sous forme de flocons (cuisson à la vapeur et aplatissage à l’origine d’une prédigestion partielle de l’amidon). En raison de son niveau en amidon, nous limitons, comme pour l’orge et l’avoine, son incorporation dans nos formules d’aliments afin de ne pas porter préjudice à la santé du cheval.
Nous employons le colza uniquement sous forme d’huiles en raison de sa concentration énergétique très importante (3 UFC au kilo) et également de son bon équilibre oméga 6 / oméga 3. Ainsi, le colza sous ses autres aspects (tourteaux ou graines) est proscrit dans nos aliments par manque d’appétence selon nos données.
Nous utilisons principalement le soja de deux façons :
La graine de soja présente un profil très attrayant en protéines (36% ; richesse en acides aminés essentiels tels la lysine) et également en matières grasses (19% ; concentration énergétique d’1.35 UFC au kilo). Son emploi se fait uniquement sous forme de graines de soja extrudées. Ce process a un double intérêt : amélioration de la digestibilité de la graine et destruction des facteurs antinutritionnels naturellement présents dans les graines crues.
Le tourteau de soja représente l’une des meilleures sources protéiques végétales sur le marché en raison de sa teneur en protéines (46%) et de la qualité des acides aminés essentiels apportés (ratio lysine/protéine à 6.1). En parallèle, le tourteau de palmiste ou le tourteau de tournesol sont strictement interdits dans nos produits pour des raisons nutritionnels (ratio lysine/protéine à 3.0 pour le tourteau de palmiste et à 3.5 pour le tourteau de tournesol) et/ou vis-à-vis du risque de présence de substances naturelles alimentaires prohibées (SNAP).
La graine de lin est particulièrement bénéfique sur le plan nutritionnel grâce à sa teneur importante en matières grasses (35%) ainsi que par sa richesse en acides gras essentiels (notamment de type oméga 3). Nous utilisons également le lin sous forme d’huile là encore en raison de concentration élevée en oméga 3 (51% d’oméga 3). A l’inverse, l’huile de palme présentant un profil nutritionnel complètement différent (prédominance en acides gras saturés), son utilisation est exclue dans l’ensemble des produits de la gamme d’aliments DP NUTRITION.
La luzerne déshydratée employée dans nos formules est une luzerne « spéciale cheval ». Cette qualité « spécifique cheval » nous est indispensable et garantit l’absence de SNAP. Ses atouts sont nombreux : apport en protéines (15.5%) et ratio lysine/protéine à 4.5, richesse en fibres (27% de cellulose brute), haut pouvoir tampon, appétence…
Contrairement au blé, le son de blé est une matière première qui s’adapte parfaitement à la physiologie digestive du cheval : faible teneur en amidon (15% contre 60% pour le blé), teneur élevée en cellulose brute (11% contre 2.5% pour le blé). De plus, son profil en fibres et notamment sa richesse en hémicellulose (fibres hautement digestibles ; critère pris en compte dans la formulation de nos aliments) assure à la fois la sécurité digestive du cheval et un apport énergétique non négligeable (0.85 UFC au kilo pour le son de blé).
Tout comme la luzerne et le son de blé, les téguments d’avoine sont une source intéressante de fibres afin d’en assurer leur juste équilibre au sein de nos aliments : faible niveau d’amidon, richesse en cellulose brute (29%) et en hémicellulose (40%)…
En revanche, nous bannissons l’emploi de certaines matières premières riches en fibres telles que la pulpe de raisin ou les coques de tournesol pour plusieurs raisons dont l’aspect nutritionnel : richesse en lignine = faible digestibilité chez le cheval.
Les produits de la gamme DP NUTRITION fournissent une couverture optimale des besoins en minéraux des chevaux et poneys en fonction de leur activité ou de leur stade physiologique. On distingue les macro-éléments (Calcium, Phosphore, Sodium, Magnésium…) et les oligo-éléments (Fer, Zinc, Cuivre, Manganèse, Iode, Sélénium…).
Néanmoins, l’incorporation des minéraux dans l’aliment doit être raisonné selon l’intensité du travail ou encore le stade physiologique (croissance, gestation, lactation) du cheval. En effet une carence ou un excès peuvent tous les deux s’avérer problématiques pour sa santé.
Calcium :
Rôles:
Phosphore :
Rôles:
Pour les chevaux à la reproduction, le rapport Calcium/Phosphore doit être le plus proche de 1.5.
Pour les chevaux en croissance et au travail, le rapport Calcium/Phosphore doit être le plus proche de 1.8.
Sodium :
Rôles:
Magnésium :
Rôles:
Fer :
Rôles:
Manganèse :
Rôles:
Zinc :
Rôles:
Cuivre :
Rôles:
Pour tous les chevaux, le rapport Zinc/Cuivre optimal est de 3.
Iode :
Rôles:
Sélénium :
Rôles:
Les produits de la gamme DP NUTRITION fournissent une couverture optimale des besoins vitaminiques des chevaux et poneys en fonction de leur activité ou de leur stade physiologique. On distingue les vitamines liposolubles (A, D, E et K) et les vitamines hydrosolubles (groupe B et C).
Néanmoins, l’incorporation des vitamines dans l’aliment doit être raisonné selon l’intensité du travail ou encore le stade physiologique (croissance, gestation, lactation) du cheval. En effet une carence ou un excès peuvent tous les deux s’avérer problématiques pour sa santé.
Vitamine A (Rétinol) :
Rôles:
Vitamine D3 :
Rôles:
Pour tous les chevaux, le rapport Vitamine A/Vitamine D dans l’aliment doit être compris entre 5 et 10.
Vitamine E :
Rôles:
Vitamine K :
Rôles:
Vitamine B1 (Thiamine) :
Rôles:
Vitamine B2 (Riboflavine) :
Rôles:
Vitamine B3 (PP ou Niacine) :
Rôles:
Vitamine B5 (Acide Pantothénique) :
Rôles:
Vitamine B6 (Pyridoxine) :
Rôles:
Vitamine B8 (Biotine) :
Rôles:
Vitamine B9 (Acide Folique) :
Rôles:
Vitamine B12 (Cyanocobalamine) :
Rôles:
Vitamine C (Acide Ascorbique):
Rôles:
Choline:
Rôles: